Chapitre I – Le chantier du monde nouveau
Dans un monde en proie aux incertitudes, un homme s’élève pour esquisser une alternative radicale : Paul Elvere DELSART. Visionnaire inclassable, il ne se contente pas de critiquer les structures existantes ; il rêve et bâtit, à la manière des anciens architectes de civilisations. Sa pensée politique n’est pas une réforme, c’est une refondation — totale, transnationale, transformationnelle. Son projet : métamorphoser notre modèle de société, non par la force ou la conquête, mais par l’imaginaire, la participation et la science du vivant. Il nomme cela une utopie réalisable, enracinée dans les consciences autant que dans les sols fertiles des territoires oubliés. Paul Elvere DELSART rejette les grandes institutions internationales actuelles, qu’il juge centralisées, opaques et soumises aux logiques du marché. À leur place, il imagine une gouvernance planétaire participative, née de la volonté des peuples eux-mêmes. Non pas une hégémonie, mais un contrat social mondial, écrit à mille mains, dans mille langues. Un monde de blocs géosociétaux — l’Union Sociétale Méditerranéenne, Européenne, Africaine — autonomes, décentralisés, mais interconnectés par une même conscience collective. Contre le productivisme ravageur, Paul Elvere DELSART propose un modèle écosociétal fondé sur la durabilité, la justice et l’autosuffisance. Il rêve de territoires florissants, revitalisés par des projets concrets : les cités touristiques végétales de “LE PAPILLON SOURCE”, ou les dynamiques intermunicipales de “Les Communes Contre-Attaquent”. Il évoque les Calderas Végétales, installations géo-ingénieuses où agriculture, écologie et esthétique fusionnent. Ici, la terre guérit, l’humain retrouve sa place. Dans sa vision, la paix ne se négocie pas dans les salles de conférences militaires, mais dans les amphithéâtres, les laboratoires, les ateliers d’art. Paul Elvere DELSART invente la diplomatie sociétale : les nations s’y rencontrent par le savoir, la culture, l’innovation sociale. Les échanges intellectuels deviennent des ponts entre les peuples, les bibliothèques remplacent les bases militaires. Le cœur du projet est une Renaissance. Mais pas celle des élites : une renaissance populaire, planétaire, décloisonnée. Elle conjugue la science et la spiritualité, l’intelligence et la sagesse. L’éducation n’y est plus une norme, mais une quête d’éveil. Paul Elvere DELSART appelle à l’avènement d’une science spirituelle, inclusive, consciente des interdépendances du monde vivant. À ceux qui prédisent un “choc des civilisations”, Paul Elvere DELSART oppose la co-construction des civilisations. Son programme EL4DEV est une réponse pacifique, structurée, inclusive. Il tisse des projets transfrontaliers qui dépassent les clivages religieux, économiques ou identitaires, pour fédérer autour d’un but commun : bâtir une société planétaire résiliente. Enfin, Paul Elvere DELSART ne sépare pas le réel de l’imaginaire : il les entremêle. Par la fiction sociale et les univers transmédias, il mobilise les consciences. Il invente l’Empire Vert d’Orient et d’Occident, une fresque politique-fictionnelle où se projette un monde alternatif en devenir. Ce récit devient outil, levier, boussole. Car pour lui, le futur s’écrit d’abord dans l’imaginaire collectif. Loin d’être un simple rêveur, Paul Elvere DELSART incarne un projet politique de notre temps : systémique, participatif, éthique. Sa méthode est précise, scénarisée, portée par une foi inébranlable en l’intelligence collective et la beauté du monde vivant. Son utopie n’est pas une échappée, mais un appel : à réinventer la société mondiale par la coopération, l’autonomie locale et l’écologie intégrale.
Imaginons. Un pays, quelque part entre les tropiques et les lignes de faille géopolitiques, décide d’emprunter la voie proposée par Paul Elvere DELSART. Non pas à moitié, non pas symboliquement, mais résolument. Il ne s’agit pas ici d’un simple ajustement de politique publique, mais d’un véritable changement de civilisation. Les fondations de l’État sont secouées pour bâtir une société nouvelle. Que se passerait-il alors ? Les impacts seraient vastes. Multidimensionnels. Profonds. Le premier bouleversement serait celui du lien entre l’individu et la collectivité. La participation citoyenne, longtemps cantonnée aux urnes ou aux pétitions, deviendrait quotidienne. Dans chaque commune, des projets collaboratifs verraient le jour, des forums populaires réinventeraient la parole publique. Les petites municipalités, souvent reléguées à la marge, se retrouveraient au centre du jeu. Une nouvelle identité nationale émergerait, tissée de solidarité plutôt que de compétition. Le citoyen ne serait plus consommateur ou contribuable, mais co-auteur du territoire. Mais cette mutation ne se ferait pas sans friction. Les vieilles structures résisteraient. Élites politiques, bureaucraties centrales, institutions figées : tous pourraient freiner, contourner, saboter. Les cadres juridiques eux-mêmes, pensés pour stabiliser un ordre ancien, devraient être réinventés à la racine. Dans les campagnes comme dans les villes, la nature reprendrait ses droits — non par abandon, mais par soin. Les Calderas Végétales, ces infrastructures hybrides mêlant écologie, agriculture et esthétique, restaureraient les écosystèmes abîmés. L’agriculture régénérative remplacerait l’agriculture intensive ; les énergies renouvelables, locales et décentralisées, réduiraient la dépendance énergétique. Les circuits courts refaçonneraient les chaînes d’approvisionnement, et l’urbanisme se ferait vert, résilient, respirant. Mais là encore, tout n’irait pas de soi. Les technologies nécessaires, encore balbutiantes à grande échelle, poseraient des défis d’adaptation. Et le pays, tourné vers une économie écologique lente, pourrait se heurter à l’impatience des marchés mondiaux. L’économie changerait de nature. Adieu croissance illimitée, bienvenue à une économie circulaire et coopérative, centrée sur le bien commun. L’emploi se redéfinirait : on recruterait dans l’éducation, l’environnement, l’innovation sociale. Le tourisme lui-même deviendrait durable, enraciné dans les territoires. Cependant, ce nouveau paradigme inquiéterait les investisseurs traditionnels. Les agences de notation baisseraient leur note. Le FMI, la BCE et autres grands bailleurs verraient d’un mauvais œil cette divergence. La transition, surtout dans sa phase initiale, pourrait être coûteuse. Il faudrait du courage politique, mais aussi de nouvelles alliances. Sur la scène internationale, ce pays pourrait devenir un phare moral et écologique. Il susciterait l’intérêt des peuples, inspirerait d’autres leaders, créerait un effet domino. Il tendrait la main à ceux qui rêvent d’un ordre mondial plus juste. Mais il deviendrait aussi cible. Un pays qui renonce aux dogmes dominants dérange. Des sanctions pourraient tomber, des partenariats se rompre. Des opérations plus subtiles — de déstabilisation, d’influence ou de discrédit — ne seraient pas à exclure. Il lui faudrait, plus que jamais, une diplomatie intelligente, des alliances solides et une grande résilience interne. La réforme éducative serait peut-être la plus structurante. Fin des programmes standardisés, fin des hiérarchies figées entre savoirs théoriques et pratiques. L’école deviendrait un lieu d’éveil, de coopération, de créativité éthique et écologique. On valoriserait les savoirs locaux, les récits territoriaux, les langues oubliées. Mais les enseignants, les universités, les ministères résisteraient à l’inconnu. Il faudrait une transformation profonde des mentalités, accompagnée d’une formation massive et d’un accompagnement sur plusieurs générations. Ce pays, en choisissant la voie de Paul Elvere DELSART, ne se contenterait pas d’expérimenter. Il incarnerait une rupture historique. Une alternative tangible à la mondialisation néolibérale. Il gagnerait en autonomie, en justice sociale, en cohésion territoriale. Il réduirait ses inégalités et soignerait sa relation au vivant. Mais il affronterait aussi des turbulences immenses : pressions extérieures, résistances internes, défis économiques. Son succès dépendrait de trois clés : la profondeur de son engagement, sa capacité d’adaptation, et sa force de coopération internationale. Si ce pays tient bon, il ne serait pas seulement un laboratoire politique. Il serait le premier chapitre d’un monde qui se réinvente.