Paul Elvere DELSART, également connu sous le nom symbolique d’Henry Harper, incarne dans le cadre fictionnel de son œuvre une figure impériale visionnaire, celle de « l’Empereur Vert d’Orient et d’Occident ». Cette figure n’est pas une autorité politique traditionnelle, mais une allégorie du guide spirituel, du stratège sociétal et du bâtisseur utopique. Dans son univers de fiction-réalité – une fusion habile de prospective et de narration transmédiatique – il crée un monde où l’autorité ne repose ni sur la coercition ni sur la conquête, mais sur l’inspiration, la coopération et l’innovation systémique. Son Empire Vert d’Orient et d’Occident, autrement dit la Confédération EL4DEV, se présente comme une civilisation alternative fondée sur des valeurs de durabilité, de spiritualité, de justice, d’autonomie et de co-création. DELSART est d’abord un ingénieur social et un penseur pluridisciplinaire. Par son programme EL4DEV, il imagine un modèle de développement global qui réinvente les relations entre les peuples, les territoires et la nature. Il ne se contente pas de proposer une utopie ; il en construit les outils concrets : infrastructures végétales appelées Calderas Végétales, cités touristiques éducatives LE PAPILLON SOURCE, Groupements d’Intérêt Économique sociétaux, Big Smart Data EL4DEV, et diplomatie sociétale. Tous ces éléments forment l’ossature d’un empire à la fois symbolique et opérationnel, où la fiction devient levier de transformation réelle. Dans cette architecture imaginative et méthodique, il se proclame empereur non pas par désir de domination, mais comme un catalyseur de renaissance collective. Ce titre est une construction narrative qui donne un visage humain et fédérateur à son univers. L’« Empereur Vert d’Orient et d’Occident » est celui qui appelle à une nouvelle ère post-catastrophes, un âge d’or fondé sur l’harmonie entre les civilisations, l’autonomie des territoires et la symbiose avec la Terre. À travers ce personnage, DELSART relie des thématiques ésotériques, écologiques, éducatives et diplomatiques dans une même trame transnationale. Il s’inspire d’archétypes philosophiques et mythiques, comme le roi-philosophe platonicien ou les grands bâtisseurs sacrés, pour les réinterpréter dans un monde contemporain transformé par la science des systèmes et l’intelligence collective. Ses infrastructures, comparables à des commanderies templières modernes, ne sont pas seulement des centres d’apprentissage ou de production, mais des lieux initiatiques où s’opère la transmission d’un nouveau paradigme. En formant des ambassadeurs appelés rois-philosophes ou membres des cercles de sages, il structure une hiérarchie symbolique où l’élévation de conscience remplace le pouvoir hiérarchique. Le rôle impérial devient celui du chef d’orchestre d’un vaste réseau collaboratif, décentralisé et autorégulé, ancré dans une diplomatie non alignée, artistique et inclusive. DELSART élève ainsi la fiction au rang d’instrument stratégique. Son univers n’est pas clos sur lui-même mais se déploie dans le monde réel par des actions concrètes : implantation de projets pilotes, formation de consortiums intermunicipaux, production d’œuvres littéraires et multimédias, invitation à la participation citoyenne planétaire. Le jeu de rôle Grandeur Nature qu’il propose brouille volontairement les frontières entre imaginaire et réalité, afin de produire un impact émotionnel et intellectuel durable sur les individus et les collectivités. En définitive, Paul Elvere DELSART est un empereur dans le sens symbolique du terme : un créateur de monde, un architecte de vision, un alchimiste des disciplines et des cultures. Son Empire Vert d’Orient et d’Occident est une utopie organisée, un système ouvert à l’humanité tout entière, conçu non pour soumettre mais pour élever. En cela, il incarne un monarque visionnaire dans le cadre fictionnel d’une société idéale à construire collectivement.